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Leçon 01 : Le disciple et les Ecritures
28 Dec. 13 - 03 Jan. 14
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L'autorité des Ecritures Lun. 30 Dec.

Lisez MT 5.17-20; 12.3-8; 15.3-11 ; Jn 10.34-37; 17.14-19; Lc 24.44. Qu’indiquent-ils sur la façon dont Jésus considérait la Bible?

Chaque fois que le Christ débattait avec les autorités religieuses, il faisait appel non à quelque philosophie abstraite, ni même à son autorité personnelle, mais aux enseignements des Écritures. Quand il voulait faire la part des choses entre le vrai et le faux, il fondait son argumentation sur les Écritures. Si des opposants remettaient en question la pureté de sa doctrine, il leur citait des passages particuliers des Écritures. Lorsqu’il s’agissait de réfléchir à des questions concrètes, Jésus renvoyait son auditoire à la révélation biblique. Il avait conscience que la mission à laquelle Dieu l’avait destiné consistait à accomplir ce que les prophètes avaient annoncé par le passé.

Comparer l’opinion enthousiaste que le Christ avait des Écritures avec l’attitude souvent professée aujourd’hui, même par des chrétiens. Des dénominations entières en sont venues à considérer la Bible comme un ensemble de manuscrits intéressants, mais non fiables sur le plan historique. Les Écritures dans leur entier — la création en six jours, l’exode, voire la résurrection de Jésus en chair (et encore davantage son retour à prendre au pied de la lettre) — ont été remis en question ou même relégués au stade de mythe.

Les implications, quant au rôle de disciple, sont évidentes. Qui voudrait consacrer sa vie à une cause qui se serait fondée que sur des mythes? Or les gens accablés de problèmes bien concrets ont besoin d'un Sauveur bien tangible lui aussi. Sinon, l’Évangile n'est plus qu’un trésor terni ou, métaphoriquement parlant, de la monnaie en plastique, plaquée imitation or. De loin, on peut se méprendre, mais après examen, le plastique sera rejeté. La seule solution inéluctable est de suivre l’exemple du Christ en l’exaltant, en l’honorant et en suivant les préceptes de la Bible.

La mort n’est pas un mythe, n’est-ce pas? Pas plus qu’elle n’est symbolique. C’est l'une des réalités les plus dures qu’il soit donné d’affronter. Réfléchissez alors aux implications qu’entraine le fait de considérer les enseignements bibliques, tels que la résurrection de Jésus ou son retour, comme de simples symboles ou mythes. Pourquoi ne devons-nous jamais, individuellement ou en tant qu’Église, tomber dans ce piège inspiré par Satan?

 

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